4 juillet 2007
Mignon, suite...
Ah non (d’un chat), ça commence à bien faire !
Tu ne peux pas marquer ton territoire ailleurs ?
Troisième lit.
Y en a marre d’envoyer les couettes à nettoyer, de faire des lessives : les draps puis oreiller par oreiller.
Et cette odeur tenace sur le matelas.
De plus avec ce temps pourri, rien ne sèche.
Ca Mignon, c’était une pissette de trop !
Voilà qui est fait, au grand dam de l’homme qui par solidarité sexuelle, ne peut s’empêcher de compatir.
Le vétérinaire t’a accueilli gentiment.
Evidemment ce soir, tu n’es pas au meilleur de ta forme.
Allons ne me regarde pas avec cet air de reproche.
Tu restes un beau et gros matou.
Ca se voit à peine qu’ "elles " ne sont plus là…
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